PLAC édition 2019 : la presse publique et les femmes sur les plus hautes marches du podium
En marge de sa 19e Assemblée générale ordinaire clôturée le vendredi 26 avril 2019, le Réseau national de Lutte anti-corruption (REN-LAC) a distingué, au cours de la cérémonie de remise des prix de la lutte anti-corruption (PLAC), les journalistes burkinabè qui se sont illustrés à travers leurs productions dans la lutte contre la corruption et la mal gouvernance en 2018. Pour cette 17e édition, les médias publics ont raflé les premières places.
Comme pour les précédentes éditions, le jury a noté également cette un engouement des hommes et femmes de médias pour le PLAC. Par ailleurs, il a recommandé au REN-LAC la prise en compte des articles de la presse en ligne.
C’est au début des années 2000 que les Prix de la Lutte anti-corruption (PLAC) ont été créés par le Réseau national de Lutte anti-corruption (REN-LAC) pour stimuler la production médiatique sur la dénonciation des faits de corruption. Ouverts aux journalistes de presse écrite et de radiodiffusion exerçant au Burkina Faso, ces prix sont à leur 17e édition.
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Selon Arsène Évariste Kaboré, journaliste et conseiller technique au ministère de la Communication et des Relations avec le Parlement, qui a présidé le jury cette année, l’examen des œuvres a tenu compte de la forme et du fond. En ce qui concerne la forme, le jury accordé de l’importance à la clarté, à lisibilité et à la cohérence : maîtrise de la langue, l’expression et style. Et pour ce qui est du fond, les membres ont planché sur l’intérêt et la pertinence du sujet, la diversité et la pertinence des sources d’information et enfin le caractère complet du travail : équilibre dans le traitement de l’information, efforts de recherche de preuves et aboutissement de l’enquête.
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